Catalogue
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Hommage à Paul Boccara

Hong kong : le somnambulisme des mouvementistes

Iejov contre Staline

Il était une fois en U.R.S.S.
Quand on évoque leur ancienne patrie devant des habitants de l’ex-URSS, ceux-ci laissent percer un sourire, une lueur dans les yeux, renvoyant à des temps forts et des souvenirs impérissables, qu’ils ne demandent qu’à raconter.
Fin connaisseur de l’espace soviétique, où il effectua nombre de séjours, dont l’un en poste à Alma-Ata (Kazakhstan) de 1985 à 1988, et se basant, avec faits de société et anecdotes à l’appui, sur ses observations personnelles, Jean-Paul Batisse met au jour les raisons d’une telle nostalgie de la « belle époque » dans tous les domaines, pour voir en quoi celle-ci se distinguait du mode de vie occidental.
En Russie, d’après La Croix (2015), à la question « quel système préférez-vous ? », ils sont 34 % à répondre l’URSS, contre 29 % pour le système actuel et seulement 11 % pour la démocratie à l’occidentale. Un autre sondage, réalisé par la société Levada, indique que 56 % des Russes regrettent l’Union soviétique. Même les rares qui n’éprouvent pas une telle nostalgie reconnaissent que l’ancien système présentait quelques avantages, qu’un certain état d’esprit a disparu.
L’auteur ne se serait pas lancé dans l’écriture de ce livre s’il n’y avait pas été encouragé par de nombreux amis ex-soviétiques, qui estiment qu’il est essentiel que l’Occident connaisse la vérité sur leur ancienne patrie.
ISBN 978-2-37607-169-3

Introduction à l’étude de la philosophie
« L’élément populaire “ sent ”, mais il ne comprend ou ne sait pas toujours. L’élément intellectuel “ sait ”, mais il ne comprend pas toujours, et surtout il ne “ sent ” pas toujours. Les deux extrêmes sont par conséquent la pédanterie et le philistinisme d’un côté, la passion aveugle et le sectarisme de l’autre. Non que le pédant ne puisse être passionné, au contraire ; la pédanterie passionnée est tout aussi ridicule et dangereuse que le sectarisme et la démagogie les plus effrénés. L’erreur de l’intellectuel consiste à croire qu’il puisse “ savoir ” sans comprendre, et spécialement sans sentir, et sans être passionné (non seulement du savoir en soi, mais de l’objet de ce savoir), autrement dit cette erreur consiste à croire que l’intellectuel puisse être tel (et non un pur pédant) s’il est séparé et détaché du peuple-nation, c’est-à-dire sans sentir les passions élémentaires du peuple, en les comprenant, et donc les expliquant et les justifiant dans la situation historique déterminée, et en les rattachant dialectiquement aux lois de l’histoire, à une conception supérieure du monde élaborée scientifiquement et d’une façon cohérente : le “ savoir ” ; on ne fait pas de politique-histoire sans cette passion, c’est-à-dire sans ce lien sentimental entre les intellectuels et le peuple-nation. »
ISBN 978-2-37607-167-9

Je sens que ça vient

Jean-Jacques Rousseau, le commencement d’un monde

Jean-Jacques Rousseau, l’avortement du capitalisme

Julian Assange en danger de mort
Wikijustice Julian Assange
Comité fondé en mai 2019 au sein de l’insurrection des Gilets jaunes et regroupant des démocrates de toute sensibilité (voir la déclaration du comité au début de ce livre).
Aymeric Monville
Né en 1977, éditeur de profession, ancien rédacteur en chef adjoint de la revue La Pensée, il est aussi l’auteur d’ouvrages de philosophie politique dont Misère du nietzschéisme de gauche (Aden, 2007), L’Idéologie européenne (Aden, 2008), Le Néocapitalisme chez Michel Clouscard (Delga, 2014), Les Jolis Grands Hommes de gauche (Delga, 2017).

Khrouchtchev a menti

L’Assassinat de Jules César
