Manifestation interdite
Manifestation interdite fut en 1935 le choix du jury du Prix Renaudot, mais Léon Moussinac fit savoir, la veille, qu’il le refusait. Il se mettait ainsi en accord avec ses idées qui le conduisaient à ne pas pactiser, même involontairement, avec les diverses institutions qui prétendent régenter la vie culturelle. La manifestation qui donne son titre au roman est celle qui fut organisée à Paris en 1927 pour protester contre l’exécution de Sacco et Vanzetti. La police aux ordres du préfet Chiappe mit alors en oeuvre une grande brutalité que les milieux bien-pensants trouvèrent normale parce qu’elle leur convenait. Il en est souvent ainsi des mouvements sociaux lorsqu’ils gênent. Mais ce roman ne touche pas qu’à l’assassinat de deux innocents, il montre aussi l’ordinaire de la vie militante et le difficile cheminement d’un petit cadre pour regarder en face sa vie face à ce crime légal et faire le choix que sa conscience lui dicte. Il anticipe ainsi la situation qui viendra en France quelques année plus tard. Pilonné par la police de Daladier en 1939 avec les autres productions de son éditeur, Manifestation interdite n’avait pas été réédité depuis sa première publication. Léon MOUSSINAC Préface de François Eychart Prix public 17 euros

ISBN 978-2-37607-160-0

219 pages

 
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Marx et Octobre 17 pour préparer l’avenir
2017 et 2018 resteront les années où le mouvement révolutionnaire a célébré cinq anniversaires majeurs : le 100e anniversaire de la révolution d’Octobre, le 150e de la première édition du Capital, le 170e du Manifeste communiste et du soulèvement parisien de Juin 1848, et le 200e anniversaire de Karl Marx. Mais si, comme révolutionnaires, nous parlons célébration, il ne s’agit pas pour autant d’un rite de fidélité au passé, ni d’un « devoir de mémoire », ni même d’une démarche académique (cette dernière étant indispensable). Il s’agit d’abord de profiter de l’occasion pour se replonger dans l’étude des classiques tant pour en vérifier la pertinence que pour en approfondir et actualiser l’analyse. Par là il s’agit finalement d’affûter l’arme théorique pour s’en servir dans la bataille pour renverser la dictature de la bourgeoisie monopoliste et la remplacer par la dernière dictature de classe de l’histoire, celle du prolétariat, dont la tâche est de substituer au mode de production capitaliste, le mode de production communiste à sa phase initiale, le socialisme. C’est ce à quoi veulent contribuer ici les textes sur le Manifeste et sur le rapport de Marx avec les révolutions de 1 848 et de la Commune de Paris. Le premier est la réécriture d’un texte de Maurice Cukierman de 1998 publié par Réflexions marxistes, le second a été présenté Jean-Luc Sallé à la conférence Karl Marx tenue à l’Institut de Philosophie de Moscou en 2008. Il s’agit ensuite de se pencher sur cet évènement sans précédent qu’a été la révolution d’Octobre pour s’interroger sur ce qu’elle a à nous apprendre, pour notre propre combat révolutionnaire. Cela passe par un rappel (un survol) des faits, aujourd’hui occultés ou déformés, à un point effrayant, y compris dans l’enseignement (que l’on compare la manière dont ces évènements sont traités en 1980 par les livres d’histoire du secondaire, et ceux d’aujourd’hui). C’est une véritable entreprise de révisionnisme-négationiste ! Et il est nécessaire de souligner les leçons à tirer pour préparer et faire triompher les révolutions à venir. C’est ce à quoi se proposent le texte de Maurice Cukierman « Connaître Octobre pour préparer demain », publié pour l’essentiel dans Intervention communiste et celui de l’intervention du camarade Dimitris Koutsoumbas, secrétaire général du Parti communiste de Grèce à la 19e rencontre internationale des Partis communistes et ouvriers de Léningrad en novembre 2017. Ces quatre textes par leur démarche ont l’ambition de justifier le titre de ce recueil. Maurice CUKIERMAN Dimitri KOUTSOUMBAS Jean-Luc SALLÉ

ISBN 978-2-37607-154-9

122 pages

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Missions en conflit
Cet ouvrage présente un récit haletant de la politique cubaine en Afrique de 1959 à 1976 et de son conflit croissant avec les États-Unis. L’auteur conduit le lecteur des premiers pas de Cuba pour aider les rebelles algériens combattant la France en 1961, à la guerre secrète entre La Havane et Washington au Zaïre en 1964-65 — où 100 Cubains menés par le Che Guevara ont affronté 1 000 mercenaires contrôlés par la CIA — et, finalement, à l’envoi héroïque de 30 000 Cubains en Angola en 1975-76, qui a stoppé l’avance sud-africaine sur Luanda et condamné la grande opération masquée d’Henry Kissinger. Seul chercheur étranger à avoir eu accès aux archives cubaines, l’auteur a étayé ses travaux sur des resources complètement inédites et des entretiens de première main dans presque tous les pays concernés. Ce travail complet et équilibré apporte un éclairage nouveau sur la politique étrangère américaine et les opérations secrètes de la CIA. Il révolutionne notre vision du rôle international de Cuba, remet en question les convictions américaines quant à l’influence de l’Union soviétique dans la direction de la politique cubaine en Afrique et offre pour la première fois un regard de l’intérieur de la politique étrangère cubaine pendant la guerre froide. « Fascinant . . . et souvent même divertissant. . . . Gleijeses raconte l’histoire cubaine avec un flair considérable, profitant d’un matériau extrêment riche. » Washington Post Book World « Les recherches de Gleijeses. . . contredisent franchement le témoignage du Congrès de l’époque et les Mémoires d’Henry Kissinger. . . Après avoir examiné les travaux du Dr Gleijeses, plusieurs anciens diplomates américains chevronnés ayant participé à l’élaboration de la politique à l’égard de l’Angola ont largement approuvé ses conclusions. » New York Times « Avec la publication de Missions en conflit, Piero Gleijeses établit sa réputation d’historien le plus impressionnant de la Guerre froide au Tiers-Monde. S’appuyant sur des sources cubaines, africaines et américaines auparavant indisponibles, il raconte une histoire pleine d’informations fraîches et surprenantes. Et, pour combler le tout, il le fait avec une sensibilité remarquable aux perspectives des protagonistes. Ce livre est déjà un classique. » John Lewis Gaddis, auteur de We Now Know: Rethinking Cold War History

ISBN 978-2-37607-148-8

650 pages

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Mondialisation capitaliste et projet communiste
En 1997, alors que la contre-révolution et l’antisoviétisme triomphants concélébraient à grands coups de novlangue la « mort du communisme » et la « fin de l’histoire », le philosophe Georges Gastaud, alors militant du PCF, syndicaliste et opposant de gauche aux dérives anti-léninistes de ce parti, publiait Mondialisation capitaliste et projet communiste. Il y démontrait la nature « exterministe » du capitalisme-impérialisme actuel et y réfutait la « nouvelle pensée politique » de Gorbatchev. Il proposait en outre une analyse dialec- tique multifactorielle de la contre-révolution et y explorait les possibles bases de classe d’un universalisme conséquent associant le patriotisme populaire à l’internationalisme prolétarien. Il dénonçait en outre la « fracture idéologique » béante entre le grand mouvement gréviste de décembre 95 et un PCF satellisé par le PS maastrichtien. Vingt-cinq ans plus tard, il a paru stimulant de republier ce livre que l’auteur, devenu entre-temps l’un des dirigeants du Pôle pour la renaissance communiste en France, a actualisé sur certaines questions politiques et théoriques importantes relatives à l’urgente reconstruction des avant-gardes.
Georges gastaud, né en 1951, il est agrégé de philosophie et ancien professeur en classes préparatoires scien- tifiques au lycée Condorcet de Lens. Récemment publiés chez le même éditeur : Lumières communes, traité de philosophie à la lumière du matérialisme dialectique (en cinq tomes), Le Nouveau Défi léniniste, Marxisme et Universalisme.

ISBN 978-2-37607-242-3

397 pages

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Mouammar Kadhafi

Kadhafi a été exécuté le 20 octobre 2011. Il avait tenté, comme quelques leaders révolutionnaires africains de libérer son continent de l’empire occidental, toujours indifférent à la misère de masse qui y règne et qui s’aggrave avec la détérioration climatique.

L’État sarkozien est le premier responsable de cette liquidation, source d’un chaos qui dure en Libye depuis plus de huit ans, dans l’indifférence des faux « humanitaires ».

La solidarité internationaliste n’a pas joué pour Kadhafi et le régime inédit qu’il a tenté de mettre en oeuvre. Les causes de cette inertie de nombreux progressistes occidentaux sont l’inculture, la méconnaissance et l’ehtnocentrisme.

Mouammar Kadhafi a néanmoins, comme Patrice Lumumba ou Thomas Sankara, ouvert des portes pour que naissent une nouvelle Afrique et un autre monde arabe.

Avec une préface de Jean Ortiz

Robert Charvin

Né en 1938, professeur émérite de droit (spécialisé dans les relations internationales) à l’Université de Nice Sophia-Antipolis. Doyen honoraire de la Faculté de droit et des Sciences économiques de Nice. Consultant en droit international, droit des relations internationales. Parmi ses récents ouvrages : Comment peut-on être Coréen du Nord ? (Éditions Delga) ; Jacques Vergès, un aristocrate du refus (L’Harmattan) ; Faut-il détester la Russie ? (Investig’Action).

 

ISBN : 9782376072072

170 pages

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Où vont les italiens ?
La crise a engendré en Italie un phénomène inédit : depuis le gouvernement Monti, le pays est désormais aux mains des plus hautes instances financières et bancaires, sans l’aval des urnes. La casse des acquis sociaux s’accélère, en complicité avec un patronat voyou qui ne respecte même plus les conventions collectives. Ce diktat ne laisse pas d’inquiéter lorsqu’on sait le rôle pionnier que l’Italie a déjà joué par le passé, dans l’invention de systèmes répressifs et réactionnaires, à commencer par le fascisme. Mais l’Italie, c’est aussi un peuple que rien n’a pu ébranler, et qui, de Garibaldi à la Résistance, s’est toujours levé contre l’oppression. Un peuple qui possède comme arme une des Constitutions les plus progressistes de la planète, fruit de tant d’années de luttes. Qui l’emportera ? Les banquiers ou les Italiens ? De cette issue, c’est aussi évidemment le sort de la France qui se joue. Alessio ARENA

ISBN : 978-2-915854-41-1

108 pages Format poche 12€

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Paroles d’un combattant
Après tant de siècles de civilisation qui furent exactement des siècles de barbarie, nous rejetons enfin les honteuses croyances où la masse humaine s’est laissé abaisser par la tyrannie et la légende capitalistes, impérialistes et militaristes. Nous ne sommes plus éblouis par les fétiches déployés sur les hampes — et derrière lesquels se cachent les profiteurs de l’humanité et, avec eux, l’appétit de lucre, l’égoïsme voleur et assassin, la corruption et le brigandage, et aussi tous les cataclysmes, jusqu’au cataclysme suprême, qui approche ! Nous aspirons à l’union souveraine et fertile des peuples débarrassés de leurs parasites. Notre idéal est fort parce qu’il est juste, parce qu’il est complet et harmonieux. Il est sage, puisqu’en face du chaos déséquilibré de la société actuelle, qui conduit le monde vivant, de batailles en batailles, jusqu’à la victoire de la mort, il est révolutionnaire ! Henri BARBUSSE

ISBN : 978-2-915854-56-5

135 pages 16€

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Patriotes, traîtres et empires. L’histoire de la lutte de la Corée pour la liberté
PATRIOTES, TRAÎTRES ET EMPIRES offre le récit de l’histoire coréenne contemporaine, écrit du point de vue de ceux qui se sont battus pour libérer la Corée de la domination des empires étrangers. Il retrace l’histoire de la lutte de la Corée pour secouer le joug colonial japonais à partir de 1905 jusqu’aux efforts actuels de la Corée du Nord pour dissuader les États-Unis ou tout autre adversaire d’entreprendre une invasion. Les Coréens sont en guerre civile depuis 1932, année où Kim Il-sung, fondateur de la République populaire démocratique de Corée, a lancé une guerre de guérilla contre la domination coloniale japonaise. D’autres Coréens, traîtres à la cause de la liberté de la Corée, y compris un futur président sud-coréen, ont rejoint l’empire japonais, pour devenir officiers de l’armée japonaise ou s’enrôler dans la force de police coloniale détestée de la population. Après la division politique de leur pays par les États-Unis en 1945, les Coréens ont mené une guerre conventionnelle de 1950 à 1953. Trois millions de personnes y ont sacrifié leur vie. Patriotes, traîtres et empires. L’histoire de la lutte de la Corée pour la liberté est un antidote indispensable contre la clameur chauvine et colonialiste qui fuse de toutes parts chaque fois qu’il est question de la Corée. Stephen GOWANS Prix public 20 euros

ISBN 978-2-37607-156-3

257 pages

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Projet de constitution pour la Corse
A l’occasion du tricentenaire de la naissance de Rousseau, pour la première fois le lecteur peut disposer d’une version bilingue du Projet de constitution pour la Corse. Ce texte a été rédigé à la demande de Pascal Paoli, qui avait noté dans Le Contrat social un passage à la gloire des luttes nationales de libération des insulaires. Bien qu’inachevé, l’ouvrage exprime un moment essentiel dans la vie et l’oeuvre du penseur. Jean-Jacques ROUSSEAU Traduction en corse par Stefanu CESARI.
ISBN : 978-2-915854-37-1
174 pages 15€
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Quand l’espoir venait de l’est
Le présent ouvrage permettra au lecteur de prendre connaissance d’une des pages les moins connues de la Seconde Guerre mondiale : celle de la participation de citoyens soviétiques et d’émigrés russes au mouvement de la Résistance et de la Libération de la France. Les unités de résistants, les forces armées intérieures de la Résistance et d’autres groupes comprirent plus de trente mille Russes. Il s’agissait de soldats soviétiques évadés des camps de prisonniers, d’émigrés russes entrés dans la lutte dès les premiers jours de l’Occupation aux côtés des Français patriotes, et de civils soviétiques qui avaient été libérés de camps de travail par les résistants. Sept mille cinq cents d’entre eux perdirent la vie dans des combats menés pour la liberté de la France. Dans les villes libérées, des monuments ont été dressés en l’honneur des héros russes et autour d’eux se réunissent des anciens combattants et les jeunes générations. Les anciens de la Résistance gardent la mémoire de leurs camarades, les partisans russes, avec lesquels ils combattirent contre l’occupant. Ouvrage réalisé sous la direction de Youri Vinoguine et Alexandre Ignatov Sergueï Dybov. Préface Youri Vinoguine et Alexandre Ignatov. Avant-propos Oleg Ozerov. Extraits du livre « Vers la Victoire à travers la détention et l’exploit » Nicolaï Pletoukhine. Extraits du livre « Parcelle de Russie. Chronique d’épreuves » Préface d’Annie Silvestri, maire de la ville de Thil René Barchi. « Normandie-Niemen » et « Rodina », ou Deux histoires extraordinaires Arkady Nagaïtsev et Youri Plotnikov. Les 37 courageuses Anna Domachenko. Le destin d’une femme Roman Lebedenko. Regard d’Historien Roland Haas. La France se souvient de vous.

ISBN : 9782376071952

255 pages

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Qui a tué le Parti communiste italien ?
Guido Liguori retrace ici de manière magistrale la mort en 1991 de l’organisation de masse qu’était le PCI : le travail de trois générations de militants sacrifié en 15 mois. Pour donner quoi ? Un autre parti (PDS) qui changera encore deux fois de nom pour un échouage final dans un alliage avec un pan de l’ex-Démocratie chrétienne… Au regard de l’étiage auquel est aujourd’hui tombée la vie politique italienne, on mesure l’étendue de la perte que constitue la liquidation en 1991 de cette organisation de masse qu’était le PCI. Le travail de trois générations de militants sacrifié en 15 mois sur l’autel du mouvementisme sociétal, du happening multipolaire et de l’abandon de la centralité de la lutte des classes. Pour donner quoi ? Un autre parti (PDS) qui changera encore deux fois de nom pour un échouage final dans un alliage avec un pan de l’ex-Démocratie chrétienne… Pourtant ce coup de force n’a pas été un coup de tonnerre dans un ciel serein, mais le résultat d’une longue incubation d’un PC où grandissait le réformisme et pour lequel la chute de l’URSS ne sera en fait qu’une aubaine saisie au vol pour le passage à l’acte final. Guido LIGUORI

ISBN : 978-2-915854-32-9

213 pages 13€

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Qui aidait Hitler ?
Par ce témoignage de première main, Ivan Maïski ambassadeur soviétique en Grande-Bretagne de 1932 à 1943, déconstruit la légende, forgée par l’Occident, de la connivence intrinsèque entre le Reich et l’Union soviétique. Les pourparlers en vue d’un pacte tripartite d’assistance mutuelle entre l’Angleterre, la France et l’URSS (mars-août 1939) n’ont pas été interrompus à cause du pacte de non-agression germano-soviétique d’août 39. Au contraire, l’URSS a conclu ce dernier parce que les Anglais et Français ont systématiquement saboté toute tentative de coopération loyale avec l’URSS pendant toute la durée des pourparlers tripartites. Anglais et Français sont en effet rentrés dans ces pourparlers à reculons, uniquement pour calmer leur opinion publique et faire traîner les négocia- tions, dans l’espoir de donner à Hitler le temps d’attaquer l’URSS. Dès 1937, les dirigeants anglais ont même adressé des supplications serviles au chancelier du Reich pour la signature d’un pacte quadripartite des « Quatre Grands » (Allemagne, Angleterre, France, Italie) qui laisserait aux nazis les coudées franches à l’est. L’URSS ne pouvant espérer de front anti-hitlérien, il fallut donc consentir à une paix séparée provisoire (et non à une alliance) avec l’Allemagne. Et c’est cette dernière qui en prit l’initiative. Il fallait pour l’URSS prévenir coûte que coûte la création d’un front capitaliste unique contre elle et re- tarder l’agression nazie pour mieux se préparer à la guerre future. L’URSS pesa le pour et le contre : bien qu’elle sût que cet accord serait utilisé pour attiser à l’Ouest les ressentiments antisoviétiques, elle décida que les avantages l’emportaient malgré tout. Si l’on peut vérifier, aujourd’hui comme hier, que « le capitalisme porte en lui la guerre comme la nuée porte l’orage », Ivan Maïski rappelle que le camp socialiste, de par ses principes mêmes, a toujours dirigé ses efforts pour lutter en faveur de la paix. Il était en effet exempt de classes susceptibles de gagner quoi que ce fût de la guerre et, entièrement absorbé par la première expérience de construction du socialisme, il avait tout à perdre d’un conflit qui l’eût détourné de sa tâche. Ivan MAÏSKI

ISBN : 978-2-915854-64-0

217 pages 18€

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