Catalogue
Affichage de 121–132 sur 280 résultatsTrié du plus récent au plus ancien

Aragon. Un jour du monde (2e partie)
Aragon n’est pas seulement un poète et un romancier, il est aussi un journaliste et on ne saurait véritablement l’apprécier dans toutes ses dimensions sans avoir pris connaissance de ses articles de journaux. Ceux qui ont été publiés dans Ce soir sous le titre Un jour du monde à partir de septembre 1938 ont une importance particulière parce qu’ils donnent son point de vue sur une période capitale, celle qui mène à la Seconde Guerre mondiale. Ils étaient jusqu’à présent disponibles seulement dans les bibliothèques spécialisées. Les Annales les présentent. Ce numéro reproduit les textes de 1939, jusqu’à l’interdiction de Ce soir à la suite du pacte germano-soviétique, en août 1939.
Prix public 22 eurosISBN 978-2-37607-165-5
465 pages

La dernière république soviétique
Véritable tache aveugle de l’Europe au niveau social, le système bélarusse est un héritage direct de l’URSS : 80% de l’industrie y est la propriété de l’État et ses bénéfices sont reversés dans des caisses publiques et redistribués pour l’investissement et pour un système de protection social intégral (enseignement et santé gratuits, transports et logements subventionnés, retraite à 60 ans pour les hommes et 55 pour les femmes, etc.). Il n’y a quasiment pas de chômage (1 %), l’économie y est dynamique (croissance proche de 8 % par an entre 2000 et 2010), la main d’oeuvre hautement qualifiée, la distribution des revenus égalitaire, les oligarques inexistants, ce qui a conduit tout naturellement Loukachenko à être réélu avec des résultats d’environ 80 % à chaque élection depuis vingt-cinq ans. Cela amenait Chávez, en visite à Minsk en 2006, à dire que le Bélarus (ex-Biélorussie) offrait « un modèle de développement social que nous [Venezuela] n’avons fait que commencer à instaurer chez nous ».
Ce paradigme représente donc un défi sérieux et une menace pour l’ordre néolibéral occidental hégémonique. Ce dernier s’emploie donc à rendre suspect le processus électoral en déversant dans le grand nombre de chaînes de télévision « indépendantes » qu’il sponsorise au Bélarus un flux d’émissions hostiles au gouvernement. L’ingérence des ambassades des nations occidentales et de leur créature l’OSCE dans le processus démocratique bélarusse est par ailleurs permanent, à travers toutes formes de déstabilisations imaginables brandissant le mythe de l’absence des libertés au Bélarus, comme par exemple lors de la contre-révolution colorée « révolutionnaires en jeans » (sic) en 2006 qui fit d’ailleurs un flop... Et pour cause : tout au contraire il n’y a pas de demandeur d’asile politique bélarusse recensé dans les classements des organismes internationaux oeuvrant pour les droits de l’homme, pas d’hémorragie migratoire vers l’extérieur du pays, des référendums très fréquents, un accès universel à toutes les chaînes de télévision étrangères, etc.
Stewart Parker réunit ici de manière extrêmement salutaire, en un seul endroit, l’information nécessaire pour une évaluation authentique du Bélarus, débarrassée des contre-vérités médiatiques habituelles.
Préface de Bruno Drweski
Prix public 22 eurosISBN 978-2-37607-166-2
372 pages

Carnets de Prison
Ces notes furent rédigées en 1992 par Erich Honecker, principal dirigeant de la RDA de 1971 à 1989, dans la prison de Moabit, à Berlin – celle-là même où les nazis l’avaient enfermé dans sa jeunesse – après que les autorités revanchistes de l’Allemagne fédérale eurent lancé toute une série de procès politiques afin de délégitimer par la calomnie le premier État socialiste édifié dans la patrie de Marx et Engels.
Malgré le caractère sordide de cet emprisonnement et le poids de la maladie qui allait l’emporter, ces notes sont tout sauf pessimistes. Honecker voyait bien que le capitalisme s’était « empêtré dans un noeud de contradictions qui exigent une solution ». Se moquant de la croyance selon laquelle « le marché va tout régler », Honecker partait du principe que de nouvelles forces sociales apparaîtront inévitablement et construiront de nouveaux rapports sociaux.
Et il parvenait à la conclusion dont les marxistes sont convaincus depuis toujours :
« Soit l’humanité sera précipitée dans l’abîme par le capitalisme, soit elle vaincra le capitalisme. Cette dernière solution est la plus vraisemblable et la plus réaliste, car les peuples veulent vivre. Malgré toutes les difficultés et les dangers, malgré la sinistre situation actuelle, je suis et demeure confiant. L’avenir appartient au socialisme. »
Erich HONECKER Prix public 12 eurosISBN 978-2-37607-163-1
92 pages

Entretiens (1949-1975)
ISBN 978-2-37607-161-7
347 pages

Manifestation interdite
ISBN 978-2-37607-160-0
219 pages

La fable du libéralisme qui sauve le monde
ISBN 978-2-37607-159-4
136 pages

Patriotes, traîtres et empires. L’histoire de la lutte de la Corée pour la liberté
ISBN 978-2-37607-156-3
257 pages

Les pages immortelles de Suétone
ISBN 978-2-37607-158-7
106 pages

Entre la plume et le fusil. De l’intellectuel révolutionnaire en Amérique latine
ISBN 978-2-37607-155-6
456 pages

L’Autre Voie pour l’humanité
20€
ISBN : 9782376071570
391 pages

Fin(s) de l’histoire
ISBN 978-2-37607-149-5
30€
720 pages

Résister, c’est exister
ISBN : 978-2-915854-22-0
135 pages 15€