Catalogue
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Questions esthétiques et artistiques contemporaines
L’esthétique sémantique de Galvano della Volpe ; la poétique de Youri Lotman ; l’esthétique terrestre de José Revueltas ; le monde et la langue de Wifredo Lam ; Lénine devant Tolstoï ; Lounatcharski et les apories de l’art et de la révolution ; les clés de l’idéologie esthétique de Diego Rivera...
Voici certains des thèmes abordés par Adolfo Sánchez Vázquez, qui, par ce livre paru en 1996, clôture près d’un siècle de réflexion philosophique dans le cadre d’une esthétique marxiste dont il a complètement renouvelé le langage après son ouvrage pionnier Les Idées esthétiques de Marx, étayé par le cadre général de sa réflexion sur la praxis (cf. son ouvrage de portée philosophique générale Philosophie de la praxis , paru également aux éditions Delga).
Ne sont pas oubliées non plus les réflexions sur la place de l’art dans notre modernité, de la critique d’art à la critique de l’art, de la réflexion sur la socialisation de la création jusqu’à une nouvelle refondation de l’éducation esthétique.
On aurait donc tort de prendre ce livre pour un recueil de texte épars, subjectifs et anecdotiques. Il témoigne au contraire du souci de couvrir exhaustivement, kaléïdoscopiquement, les questions soulevées par deux siècles d’esthétique au sein de la pensée-monde issue de Marx. Le tout servi par le déploiement serein d’une pensée systématique.
Traduit de l’espagnol par Luis Dapelo Présentation par Aymeric Monville.
Adolfo Sánchez Vázquez (1915-2011), philosophe, poète et critique littéraire hispano-mexicain. Militant communiste pendant la IIe République espagnole, qu’il défend activement jusqu’à la fin de la guerre civile, il est ensuite contraint de s’exiler au Mexique. Il y commence alors une carrière académique en devenant professeur de philosophie à la prestigieuse UNAM. Il est considéré, avec Bolívar Echeverría, comme l’un des plus grands théoriciens du « marxisme critique » hispanique. Les Éditions Delga ont déjà édité Philosophie de la praxis, son oeuvre majeure, et publieront prochainement Les Idées esthétiques de Marx.
ISBN : 9782376072010
339 pages
Qui a tué le Parti communiste italien ?
Guido Liguori retrace ici de manière magistrale la mort en 1991 de l’organisation de masse qu’était le PCI : le travail de trois générations de militants sacrifié en 15 mois. Pour donner quoi ? Un autre parti (PDS) qui changera encore deux fois de nom pour un échouage final dans un alliage avec un pan de l’ex-Démocratie chrétienne…
Au regard de l’étiage auquel est aujourd’hui tombée la vie politique italienne, on mesure l’étendue de la perte que constitue la liquidation en 1991 de cette organisation de masse qu’était le PCI. Le travail de trois générations de militants sacrifié en 15 mois sur l’autel du mouvementisme sociétal, du happening multipolaire et de l’abandon de la centralité de la lutte des classes. Pour donner quoi ? Un autre parti (PDS) qui changera encore deux fois de nom pour un échouage final dans un alliage avec un pan de l’ex-Démocratie chrétienne…
Pourtant ce coup de force n’a pas été un coup de tonnerre dans un ciel serein, mais le résultat d’une longue incubation d’un PC où grandissait le réformisme et pour lequel la chute de l’URSS ne sera en fait qu’une aubaine saisie au vol pour le passage à l’acte final.
Guido LIGUORI
ISBN : 978-2-915854-32-9
213 pages 13€
Qui aidait Hitler ?
Par ce témoignage de première main, Ivan Maïski ambassadeur soviétique en Grande-Bretagne de 1932 à 1943, déconstruit la légende, forgée par l’Occident, de la connivence intrinsèque entre le Reich et
l’Union soviétique. Les pourparlers en vue d’un pacte tripartite d’assistance mutuelle entre l’Angleterre, la France et l’URSS (mars-août 1939) n’ont pas été interrompus à cause du pacte de non-agression germano-soviétique d’août 39. Au contraire, l’URSS a conclu ce dernier parce que les Anglais et Français ont systématiquement saboté toute tentative de coopération loyale avec l’URSS pendant toute la durée des pourparlers tripartites.
Anglais et Français sont en effet rentrés dans ces pourparlers à reculons, uniquement pour calmer leur opinion publique et faire traîner les négocia- tions, dans l’espoir de donner à Hitler le temps d’attaquer l’URSS. Dès 1937, les dirigeants anglais ont même adressé des supplications serviles au chancelier du Reich pour la signature d’un pacte quadripartite des « Quatre Grands » (Allemagne, Angleterre, France, Italie) qui laisserait aux nazis les coudées franches à l’est.
L’URSS ne pouvant espérer de front anti-hitlérien, il fallut donc consentir à une paix séparée provisoire (et non à une alliance) avec l’Allemagne. Et c’est cette dernière qui en prit l’initiative. Il fallait pour l’URSS prévenir coûte que coûte la création d’un front capitaliste unique contre elle et re- tarder l’agression nazie pour mieux se préparer à la guerre future. L’URSS pesa le pour et le contre : bien qu’elle sût que cet accord serait utilisé pour attiser à l’Ouest les ressentiments antisoviétiques, elle décida que les avantages l’emportaient malgré tout.
Si l’on peut vérifier, aujourd’hui comme hier, que « le capitalisme porte en lui la guerre comme la nuée porte l’orage », Ivan Maïski rappelle que le camp socialiste, de par ses principes mêmes, a toujours dirigé ses efforts pour lutter en faveur de la paix. Il était en effet exempt de classes susceptibles de gagner quoi que ce fût de la guerre et, entièrement absorbé par la première expérience de construction du socialisme, il avait tout à perdre d’un conflit qui l’eût détourné de sa tâche.
Ivan MAÏSKI
ISBN : 978-2-915854-64-0
217 pages 18€
Recherches sur l’origine de la conscience et du langage
Le philosophe marxiste vietnamien Tran Duc Thao (1917-1993), exerça une réelle fascination sur les intellectuels dans la France d’après-guerre (Sartre, Merleau-Ponty, Althusser, etc.), notamment à travers son premier ouvrage Phénoménologie et matérialisme dialectique.
De retour au Viet Nam en 1951, il y continua ses travaux, dont son second et présent livre, initialement publié en 1973, fut le fruit. Y sont rassemblées les trois recherches (respectivement sur le geste de l’indication, sur le langage syncrétique et sur le complexe oedipien) que Tran Duc Thao a consacrées aux origines de la conscience et du langage.
L’immense mérite de ce livre est sans doute, en croisant paléoanthropologie et développement linguistique de l’enfant, réquisitionnant toutes les avancées scientifiques dans ces deux domaines, de mettre en évidence que la conscience et le langage intérieur se constituent à partir d’un « langage de la vie réelle » originaire, non conscient, émanation directe de l’activité matérielle des hommes. L’unique moteur de notre réalité s’y confirme donc être l’activité humaine, comme l’avait posé Marx, seule prescriptrice et ordonnatrice d’abord du langage gestuel (geste de l’imitation qui devient geste de l’indication) s’élaborant ensuite en langage syncrétique qui se différenciera à son tour pour donner naissance successivement au nom typique, au verbe typique, jusqu’à la phrase proprement dite sous sa forme constituée.
Tran Duc Thao (1917-1993), philosophe marxiste vietnamien de renommée mondiale, est aussi l’auteur de Phénoménologie et matérialisme dialectique paru en 1951 (republié en 2012 par les Éditions Delga) et de nombreux articles parus dans Les Temps modernes, La Pensée et La Nouvelle Critique.
ISBN : 9782376071990
252 pages
Réponse à Michel Onfray
Au moment où l’ensemble de nos médias, à longueur d’ondes ou de colonnes banalisent quotidiennement le nazisme, criminalisant sans cesse le communisme, continuant à affirmer malgré toutes les preuves que les communistes ne sont entrés en Résistance qu’après l’attaque contre l’Union soviétique, il apparaît plus que jamais indispensable de mettre en évidence le rôle primordial joué par les communistes dans la libération de notre pays.
Léon LANDINI
ISBN : 978-2-915854-86-2
157 pages
15€
Requiem pour la French Theory
Des deux côtés de l’Atlantique, des intellectuels engagés depuis des années dans des recherches concernant la philosophie française et le marxisme en viennent à la même conclusion : la French Theory fut un échec. Elle n’a pu appréhender les forces impérialistes qui l’ont conditionnée et soutenue, ni échapper à l’emprise de la propagande anticommuniste en cultivant un mini- mum d’esprit critique. Loin de faire une révolution intellectuelle, elle a au contraire participé à une contre-révolution théorique — en rejetant notamment les avancées de la pensée dialectique — qui n’était que la face académique de sa contre-révolution politique.
Ce dialogue entre deux marxistes, dont l’un est un ancien élève de Derrida et Badiou, n’en reste pourtant pas à la surface, ni au constat d’échec. Il s’agit au contraire de poser une interrogation fondamentale quant aux forces économiques, politiques et sociales à l’œuvre derrière la promotion globale de la French Theory « made in USA ». Il en ressort une réflexion sur la production et la dissémination de l’idéologie, l’histoire de la lutte des classes internationale (surtout en France et aux États-Unis), l’impérialisme intellectuel, le marxisme dit occidental, le fascisme, la politique identitaire, la méthodologie marxiste, le socialisme réellement existant, et le développement innovant du matérialisme historique et dialectique.
Ce requiem pour la French Theory s’interroge également sur les prolongements idéologiques contemporains de celle-ci et, loin de sombrer dans le défaitisme, anticipe une revitalisation de la pensée révolutionnaire dans une conjoncture historique où cette dernière est plus nécessaire que jamais.
Les auteurs
Gabriel Rockhill est directeur de l’Atelier de théorie critique / Critical Theory Workshop (ATC/CTW), professeur de philosophie à l’Université Villanova (Philadelphie), ancien directeur de programme au Collège international de philosophie et l’auteur ou l’édi- teur d’une dizaine de livres.
Aymeric Monville, agrégé de l’Université, est l’auteur de plusieurs essais de philosophie politique.
Jennifer Ponce de León est directrice associée de l’ATC/CTW et professeure associée à l’Université de Pennsylvanie.
ISBN 978-2-37607-266-9
130 pages
Résistances
Dans ces libres entretiens, Jean Salem revient, tout d’abord, sur une enfance dont le cours fut déterminé par les combats de ses parents, Henri et Gilberte Alleg. Combats pour l’indépendance de l’Algérie, pour la justice sociale et la victoire de l’idéal communiste, combats pour la cause de la paix, de la fraternité, de la liberté.
Il évoque ses propres passions intellectuelles, son parcours académique, ainsi que le grand travail de conviction, de résistance aussi, qui fut nécessaire pour faire revivre à la Sorbonne, après trente années de plomb, l’étude de l’œuvre et de la pensée de Marx.
En tirant, enfin, les enseignements des nombreux voyages qu’il effectue autour du monde en tant que militant et en tant qu’uni- versitaire, il livre ici ses réflexions sur la crise actuelle, sur la dégénérescence des gauches en Occident, et sur l’aggravation des tensions internationales.
Jean SALEM
ISBN : 978-2-915854-75-6
317 pages 20€
Résister, c’est exister
« Pourquoi écrire un livre soixante-quatre ans après la libération des camps ?
Si j’avais écrit ce livre dans les années suivant mon retour, ce qui est écrit sur ma déportation aurait été identique à aujourd’hui. Mais tous les événements que je peux relater avec mes réflexions et l’expérience peuvent davantage intéresser les lecteurs.
Soixante-quatre ans, c’est vraiment toute une vie.
Je pense que j’ai de nombreux projets à faire aboutir. Tant que je le pourrai, je continuerai à témoigner et à aller sur les lieux de mémoire.
Ce qui est important aussi bien pour les jeunes générations que pour les familles qui nous accompagnent. Les jeunes générations pour les appeler à être vigilants sur les événements à venir. Quant aux familles, elles veulent connaître dans quelles conditions ont vécu les leurs. C’est pourquoi, tant que nous le pourrons, il faut continuer à être présents dans les voyages « Action Mémoire », avec l’association française Buchenwald – Dora et Kommandos. »
Emile Torner est né en 1925 à Paris. Résistant, il fut déporté à Buchenwald et Langenstein.
Emile TORNER
ISBN : 978-2-915854-22-0
135 pages 15€
Rideau de fer sur le Boul’Mich
Il ne se passe guère d’année qui ne nous crédite de son lot de « révolutions orange » (Ukraine, Biélorussie, Tibet, Xinjiang, Bolivie, etc.). À ce rythme très soutenu, le système et ses porte-voix ne font que broder sur un canevas conçu trente ans plus tôt : l’opération qui, à l’Est, fit passer un demi-milliard d’individus d’une relative sécurité sociale à la jungle de la concurrence libre et non faussée. Les ex-Soviétiques y auront perdu dix ans d’espérance de vie et la diminution de moitié de leur production industrielle. Mais ils peuvent néanmoins jouir du droit formel d’aller vivre à Beverley Hills…
Du mur de Berlin au mur de l’argent, Jean Salem retrace ici la saga grotesque et dramatique qui précéda ces événements, avec son ballet de belles âmes narcissiques et de dissidents sponsorisés. Quand les défenseurs de Solidarnosc jetaient un voile pudique sur les contras de Reagan… Quand Soljenitsyne vantait les mérites du franquisme et du Chili de Pinochet… Quand Mitterrand, ancien ministre de la guerre d’Algérie, inventait la « gauche morale »…
Vingt ans après la victoire du « monde libre », il est temps de passer au crible les mécanismes de ce qui fut et demeure une véritable propagande de guerre.
Jean SALEM
ISBN : 978-2-915854-17-6
305 pages Format poche 12€
Robespierre à Paris
Robespierre... Ils l’ont tué sans procès, jeté dans une fosse commune et recouvert de chaux vive. Puis, pour justifier leur crime, ils l’ont calomnié.
C’était il y a plus de deux cents ans, pourtant nos médias ne cessent aujourd’hui encore de le clouer au pilori. Il serait, entre autres, l’homme de la Terreur, un dictateur en puissance, le bourreau de l’innocente Vendée, le responsable de la mort des gentils Girondins hérauts de la bourgeoisie triomphante et, bien entendu, un « forcené de la guillotine »... Pourtant, comme chacun sait, les institutions de la Première République ne permettaient à quiconque de telles privautés.
On en déduit donc que les détracteurs de Maximilien nous mènent sciemment en bateau... reste à savoir pour- quoi ?
Ces quelques pages s’appliquent à démontrer, en s’appuyant sur les actes et les écrits de l’Incorruptible pendant sa courte vie politique à Paris (avril 1789 - juillet 1794), en le suivant de lieu en lieu, quels grands intérêts il peut menacer aujourd’hui.
Jacqueline Grimault, enseignante retraitée, elle s’est plongée, depuis le bicentenaire de la Révolution, dans l’histoire de cette époque, et s’est plus particulièrement penchée sur la figure contestée de Maximilien Robespierre. Elle a alors conçu une exposition intitulée « Robespierre, la Révolution au cœur » qui sera présentée à la Conciergerie de Paris du 30 octobre au 30 novembre 1994. Elle avait été inaugurée en 1989 à l’école Michelet d’Asnières en présence du Professeur Schwarzenberg, de François Cavanna et de Roger Caratini. On la retrouvera, entre autres, à la Fête de l’Humanité en 1995, à la Salle du Jeu de Paume à Marseille, au Lycée Robespierre d’Arras, à l’École des Hautes Etudes de Sciences Sociales de Paris...
ISBN 978-2-37607-241-6
239 pages
Rompre avec le capitalisme, construire le socialisme
La suraccumulation durable du Capital est la maladie mortelle du capitalisme. Pour essayer de s’en sortir, les bourgeoisies dirigeantes ont inventé l’impérialisme et le capitalisme monopoliste d’État.Ce faisant, elles ont conduit les peuples de leur pays d’origine et ceux du monde entier dans de désastreuses impasses. Elles font aujourd’hui, avec le capitalisme monopoliste financier, une tentative ultime, vouée à l’échec. La suraccumulation durable du Capital est toujours là. Les bourgeoisies du monde capitaliste développé disposent encore d’une certaine force mais elles sont en recul et ne dirigent plus rien. La fin de l’impérialisme et l’expansion du socialisme sont donc à l’ordre du jour.Or il existe plusieurs façons d’expliquer ou d’aborder le socialisme. Celle adoptée par l’auteur est de le situer en continuité et en rupture avec les sociétés précédentes. La continuité serait que capitalisme et socialisme sont des sociétés marchandes. La rupture viendrait de ce que le marché capitaliste et le marché socialiste seraient radicalement différents. Le premier viserait à réaliser le profit maximum pour la minorité des capitalistes. Le second aurait pour but la satisfaction maximum de la majorité que forment les classes populaires. L’État prendrait appui sur la consommation finale et productive ainsi que sur les consommateurs pour nier la forme marchandise et construire une société d’abondance. Dans ce but, il développerait l’investissement et la productivité du travail de manière inédite tout en respectant les équilibres naturels.
Jean-Claude Delaunay, né en 1938, économiste, professeur honoraire des universités, il vit aujourd’hui en Chine (Guangxi, Nanning). Il a déjà publié une dizaine de livres. Il est vice-président de la World Association for Political Economy (WAPE) et co-éditeur de la World Review of Political Economy, que publie cette association. Les éditions Delga ont déjà fait paraître son ouvrage Les Trajectoires chinoises de modernisation ; De l’Empire agro-militaire à l’État-Nation et au socialisme.
ISBN : 9782376071914
296 pages
Russie-occident une guerre de mille ans
AUX ORIGINES DE LA GUERRE EN UKRAINE
Comment expliquer la guerre en Ukraine ? Pourquoi a-t-elle éclaté ? Pour les Occidentaux, la cause est entendue. C’est la Russie qui, sans raison, a sauvagement attaqué l’Ukraine, c’est le méchant autocrate Poutine qui a agressé le valeureux démocrate Zelensky. Ce narratif commode est ressassé ad nauseam dans les médias par tous les va-t-en-guerre qui, de Washington à Bruxelles, préconisent la guerre à outrance contre l’ennemi russe et la livraison d’armes « pour sauver des vies ».
Pour comprendre cet acharnement, devenu hystérique, Guy Mettan remonte loin dans l’histoire, jusqu’à l’empereur Charlemagne. Il examine sans tabou ni a priori les lignes de forces religieuses, géopolitiques et idéologiques dont se nourrissent la russophobie occidentale et la hantise du prétendu envahisseur russe. Il démonte les ressorts du discours anti-russe et anti-Poutine qui ont pour effet de repousser toujours plus loin les chances de paix et de réconciliation.
Guy Mettan, journaliste, a notamment dirigé la Tribune de Genève et le Club suisse de la presse. Député et ancien président du Grand Conseil de la République et canton de Genève. Auteur d’une dizaine de livres parmi lesquels Genève, ville de paix (Slatkine, 2004), Le continent perdu. Plaidoyer pour une Europe démocratique et souveraine (Syrtes, 2019), La Tyrannie du Bien (Syrtes, 2022). Le présent ouvrage a paru en 2015 et a été publié dans sept pays dont les États-Unis, la Chine, l’Italie et la Russie.