Mouammar Kadhafi

Kadhafi a été exécuté le 20 octobre 2011. Il avait tenté, comme quelques leaders révolutionnaires africains de libérer son continent de l’empire occidental, toujours indifférent à la misère de masse qui y règne et qui s’aggrave avec la détérioration climatique.

L’État sarkozien est le premier responsable de cette liquidation, source d’un chaos qui dure en Libye depuis plus de huit ans, dans l’indifférence des faux « humanitaires ».

La solidarité internationaliste n’a pas joué pour Kadhafi et le régime inédit qu’il a tenté de mettre en oeuvre. Les causes de cette inertie de nombreux progressistes occidentaux sont l’inculture, la méconnaissance et l’ehtnocentrisme.

Mouammar Kadhafi a néanmoins, comme Patrice Lumumba ou Thomas Sankara, ouvert des portes pour que naissent une nouvelle Afrique et un autre monde arabe.

Avec une préface de Jean Ortiz

Robert Charvin

Né en 1938, professeur émérite de droit (spécialisé dans les relations internationales) à l’Université de Nice Sophia-Antipolis. Doyen honoraire de la Faculté de droit et des Sciences économiques de Nice. Consultant en droit international, droit des relations internationales. Parmi ses récents ouvrages : Comment peut-on être Coréen du Nord ? (Éditions Delga) ; Jacques Vergès, un aristocrate du refus (L’Harmattan) ; Faut-il détester la Russie ? (Investig’Action).

 

ISBN : 9782376072072

170 pages

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Musique, rupture
Dès la Libération, s’est formé en Italie, à l’intérieur du système, un antagonisme social, culturel et politique. porté par la conscience de la rupture démocratique que l’antifascisme, des années vingt à la Résistance, à 1945, a opérée dans l’histoire nationale. La nouvelle musique italienne fut partie prenante de cette refondation : elle a rompu avec tous les faux rapports jusqu’alors dominants, et fut à la base de la construction d’une nouvelle culture. Elle proposa une musique qui fait penser. Les Bruno Maderna, Luigi Nono, Luciano Berio, Giacomo Manzoni, Sylvano Bussotti, Giovanna Marini, Fausto Razzi, Armando Gentilucci, Franco Evangelisti, Egisto Macchi, Vittorio Fellegara, Domenico Guaccero, Franco Oppo, se sont formés peu ou prou à travers ces luttes. Des travaux précurseurs de Malipiero au Canto sospeso de Nono sur les lettres des condamnés à mort de la Résistance européenne, des Chants de prison, de Dallapiccola qui sont le premier exemple de musique engagée en Italie, au Studio di fonologia de Milan de Maderna, Leydi, Berio, la nouvelle musique italienne entre dans la langue commune, et pose la question de la communication ouverte, linguistiquement ouverte à tous les rapports sonores alternatifs. Ce n’est pas un hasard si Nono écrit que « l’engagement idéologique s’accompagne de l’engagement linguistique ». Dans cette Italie de l’après-guerre se sont développées une recherche et une création musicale nettement différenciées de celle des autres pays marqués trop souvent par la spécialisation et un néo-rationalisme technologique qui prétend déduire les nouvelles structures linguistiques musicales à partir d’une technique de composition entièrement mathématisée. En Italie, la recherche de nouvelles techniques, y compris électroniques, s’accompagna presque toujours de l’urgence de poser la question de la responsabilité sociale du compositeur, des conditions de l’écoute et de l’accès démocratique à la musique. Témoin privilégié de cette époque, Luigi Pestalozza (né en 1928), ancien résistant, musicologue de renommée internationale, longtemps responsable des questions musicales au PCI, livre ici un recueil de ses textes les plus importants pour comprendre cet acmé de la musique contemporaine et les débats qui l’ont accompagné. Luigi PESTALOZZA

ISBN : 978-2-915854-47-3

303 pages 20€

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Négritude et négrologues
1972 : démystifiant les approches fantasmatiques de l’Afrique, Négritude et Négrologues dénonce la pensée unique des chantres de l’« authenticité » et de l’« âme noire ». Ces thuriféraires de la négritude, en particulier Léopold Sédar Senghor, ont pu se prévaloir des effets émancipateurs du thème, à l’heure des Indépendances ; pour mieux asseoir leur pouvoir personnel, au plus grand profit des anciennes puissances coloniales. Si l’on considère aujourd’hui les convulsions opérées au nom de ce discours — l’écroulement du mobutisme, par exemple —, on mesure l’éton- nante actualité d’un texte aussi décapant que prémonitoire. Un quart de siècle avant que soit banalisé le concept de « mondialisation », Stanislas Adotevi démonte les mécanismes idéologiques qui ont conduit à la margi- nalisation de l’Afrique dans l’économie du Développement. préface de Dominique Pagani Ancien professeur de philosophie. Musicologue, il a dirigé le Centre de formation et de promotion musicale de Niamey. Stanislas SPERO ADOTEVI

ISBN : 978-2-37607-116-7 nombre de pages : 216

18€

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Néo-fascisme et idéologie du désir
Pour Michel Clouscard, l’ensemble capitaliste se découpe séquentiellement en libéralisme classique, national-socialisme et néo-libéralisme. Chaque métamorphose correspond à une exigence pour sauver le capitalisme des crises et donc du communisme. Après le plan Marshall et Mai 1968, les idéologues des secteurs pilotes comme l’audiovisuel, la mode, les loisirs, vont promouvoir avec succès la consommation d’émancipation transgressive comme prétendu combat d’avant-garde contre le néo-capitalisme. Ce qui assurera de formidables nouveaux profits et la neutralisation de la lutte des classes. L’Anti-Œdipe de Deleuze/Guattari paru en 1972 en exprimera l’exaltation maximale. Michel Clouscard montre ici que la polémique avec ce dernier maillon des générations bourgeoises est la clé qui permet de révéler l’anthropologie bourgeoise totale. Il montre que l’idéologie transgressive, qui a pour fonction d’habiliter la consommation parasitaire et de prôner un activisme anti-étatique, est une transition vers une anthropologie néo-fasciste : l’opposition y est réduite à un spontanéisme groupusculaire et permet la destruction des institutions étatiques et la domination des trusts sur des masses schizophrénisées. Michel Clouscard démontre que toute l’anthropologie bourgeoise ne s’avère qu’une psychose – forclusion de la production, du producteur, du rapport immédiat au monde – et en dernière instance un sadisme – annexion acritique brutale de l’autre, des produits, du monde. Les « machines désirantes » autistiques fusionnent alors en une machine de mort. La terreur néo-fasciste commence. On peut mesurer aujourd’hui toute l’actualité de cette critique : FMI, UE, banques contre la Grèce, l’Irlande, le Portugal ; les opérations de l’OTAN en Yougoslavie, Afghanistan, Irak, Côte d’Ivoire, Libye, Syrie, etc. Michel CLOUSCARD

ISBN : 978-2-915854-53-4

143 pages 15€

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Neuf leçons sur l’anthroponomie systémique
Cet ouvrage répond à la question « qu’est-ce que l’anthroponomie ? », c’est-à-dire l’ensemble des aspects non-économiques de la vie humaine, dont on peut donner une définition positive à travers quatre moments : moment parental, moment travail, moment politique, moment informationnel. Paul Boccara pose la question de la « portée possible du projet anthroponomique ». Ce qui est en jeu, c’est une contribution à la création d’une civilisation nouvelle qui se cherche à travers la crise si profonde de notre société et du système-monde. Face au silence des sciences humaines, stérilisées par une excessive spécialisation, cet ouvrage entend mener une théorisation transdisciplinaire qui dépasse la simple juxtaposition de résultats fragmentaires et dispersés. Paul Boccara Après son ouvrage fondateur Études sur le capitalisme monopoliste d’État, sa crise et son issue (Éditions Sociales 1973), poursuit ses travaux sur les cycles longs et la crise systémique, comme sur les théories de la régulation. Il élabore alors en lien avec le mouvement syndical des recherches sur les nouveaux critères de gestion par les travailleurs dans les entreprises, au-delà même de ses propositions pour une politique économique nouvelle. Il avance sa proposition radicale de dépassement du marché du travail et du chômage avec la nécessité d’un nouveau système d’emploi ou de formation. Il présente une analyse originale de la nouvelle phase de la crise systémique en 2008. Il renouvelle la lecture de Marx avec son ouvrage Le Capital de Marx, son apport, son dépassement, au-delà de l’économie, en 2012. Il publie ensuite chez Delga son ouvrage-somme fruit de ses recherches et de ses enseignements depuis le début des années 1970, Théories sur les crises, la suraccumulation et la dévalorisation du capital, Delga, 1er vol. 2013, 2e vol. 2015. Il développe ses recherches sur la civilisation puis aujourd’hui publie l’ouvrage tant attendu sur l’anthroponymie.

ISBN : 978-2-37607-122-8

221 pages

20€

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Ni calque ni copie
José Carlos Mariátegui est non seulement le plus important et le plus inventif des marxistes latino-américains, mais aussi un penseur dont l’oeuvre, par sa force et son originalité, a une portée universelle. Son marxisme hérétique présente des affinités profondes avec quelques-uns des grands auteurs du marxisme occidental — Gramsci, Lukács ou Walter Benjamin. Le socialisme selon Mariátegui s’inscrit au coeur d’une tentative de réenchantement du monde par l’action révolutionnaire. La proposition la plus hardie et hérétique de Mariátegui, celle qui soulèvera les plus grandes controverses, est celle qui résulte du passage de ses analyses historiques sur le « communisme inca » et de ses observations anthropologiques sur la survivance des pratiques collectivistes à une stratégie politique qui fait des communautés indigènes le point de départ d’une voie socialiste propre aux pays indo-américains. Que ce soit dans le domaine de la philosophie ou de la stratégie politique, de la culture ou de la question agraire, de l’histoire ou de l’éthique, l’oeuvre de Mariátegui est entièrement traversée par un puissant souffle romantique-révolutionnaire, qui donne à sa conception marxiste du monde sa qualité unique et sa force spirituelle visionnaire.

(Extraits de la préface de Michael Löwy). Traduit de l’espagnol par Luis Dapelo.

  José Carlos Mariátegui (1894-1930) fut un penseur marxiste péruvien. Théoricien prolifique jusqu’à son décès précoce, il est considéré comme l’un des penseurs latino-américains les plus influents du XXe siècle. Ses Sept essais d’interprétation de la réalité péruvienne ont fait l’objet d’une publication française aux éditions Maspero en 1968. Les éditions Delga ont déjà publié, quant à elles, sa Défense du marxisme en 2014. Cette anthologie, la première du genre en français, embrasse l’ensemble de son oeuvre.

ISBN : 9782376071945

337 pages

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Nietzsche et ses frères
Wolfgang Harich (1923-1995) fut l’un des philosophes les plus célèbres et les plus controversés de la République démocratique allemande. Marxiste connu pour son indépendance d’esprit et son franc-parler, il n’hésite pas à entrer en lice, lorsque, quelques années avant la chute du Mur de Berlin, commence à se développer dans le camp socialiste une étrange tendance à réhabiliter Nietzsche (cet engouement surprenant a son pendant en France dans le « nietzschéisme de gauche » de Deleuze à Michel Onfray). Continuant et affinant les thèses de Georg Lukács, Harich voit en Nietzsche le « destructeur de la raison » par excellence, le précurseur intellectuel du fascisme. La perméabilité du mouvement démocratique et progressiste des travailleurs à l’idéologie nietzschéenne qui lui a pourtant juré une haine mortelle, lui semble une erreur fatale. Le fait même de concéder à Nietzsche, en vertu de l’usage académique, des qualités de poète ou de styliste est un automatisme paresseux. Pour Harich, cela ne prouve que l’ignorance du reste de la littérature allemande, dont il avait lui-même une connaissance érudite. C’est cette mise en perspective pluridisciplinaire qui fait également de cet ouvrage un compendium de culture allemande. Wolfgang HARICH

ISBN : 978-2-915854-18-3

251 pages Format Poche 12€

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Nietzsche philosophe réactionnaire
« Nouvel esclavage », « anéantissement des races décadentes », « anéantissement de millions de ratés » : ces mots d’ordre effrayants, formulés de manière séduisante sous la plume de Nietzsche, ont longtemps été interprétés comme autant de métaphores. La reconstruction historique de Domenico Losurdo montre au contraire qu’il s’agit de la radicalisation de tendances bien présentes dans l’Occident de la seconde moitié du XIXe siècle : aboli aux États-Unis en 1865, l’esclavage prend des formes nouvelles dans les colonies ; les indiens d’Amérique et les « indigènes » sont décimés ou exterminés ; l’eugénisme se répand et l’on exige la stérilisation forcée des « non aptes ». À partir de la Commune de Paris, Nietzsche prône des mesures énergiques contre les « esclaves » rebelles et appelle à en finir avec non seulement le socialisme, mais aussi la démocratie et l’idée même de progrès, à laquelle il oppose le mythe de l’ « éternel retour » : les esclaves doivent se résigner, leur condition doit rester intangible. Domenico LOSURDO

ISBN : 978-2-915854-11-4

116 pages Format poche 9€

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Nietzsche, le rebelle aristocratique
Chez Nietzsche, les analyses philosophiques et littéraires fascinantes se mêlent à des thèmes répugnants comme « le nouvel esclavage », « l’anéantissement des races décadentes », « l’anéantissement de millions de ratés ». Nous sommes en présence d’un philosophe qui, en remettant en question deux millénaires d’histoire, repense et critique les plates-formes théoriques qu’il élabore lui-même au fur et à mesure. La contextualisation historique et la reconstruction de la biographie intellectuelle de Nietzsche sont donc la condition pour saisir la cohérence tourmentée ainsi que la grandeur d’un penseur qui, à partir de son « radicalisme aristocratique » et tout en caressant des projets d’une indicible violence, entonne un contre-chant sacrilège de l’histoire et des mythologies de l’Occident. Un événement intellectuel extraordinaire qui pourrait constituer pour longtemps une nouvelle unité de mesure. Losurdo a fourni une œuvre de référence et de consultation (…) En ce qui concerne Nietzsche, on pourrait dire: ex Italia lux (…) Une interprétation cohérente et brillante avec laquelle toute la recherche, actuelle et future, devra se mesurer. Hans-Martin Lohmann, Die Zeit Domenico LOSURDO

ISBN : 978-2-915854-94-7

1088 pages 39€

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Ontologie de l’être social. Le travail, la reproduction
Georges Lukács établit ici que le travail n’est pas une manifestation parmi d’autres de la téléologie mais au contraire l’unique domaine dans lequel on puisse identifier, de manière résolument matérialiste, une position téléologique (de séries causales). Il est saut ontologique de la sphère organique à la sphère sociale et médiateur de l’échange matériel entre la nature et la société. Toutes les autres catégories de l’être social se déploieront en un échafaudage de productions sociales et de formes d’intersubjectivités de plus en plus complexes sur le modèle du travail. Face au « règne de la manipulation » capitaliste, le projet lukácsien d’une Éthique sera confronté à la nécessité préalable d’une Ontologie de l’être social. Dans le présent volume, Georges Lukács (à la suite de Marx), établit que le travail n’est pas une manifestation parmi d’autres de la téléologie mais au contraire l’unique domaine dans lequel on puisse identifier, de manière résolument matérialiste, une position téléologique (de séries causales). Il est saut ontologique de la sphère organique à la sphère sociale et médiateur de l’échange matériel entre la nature et la société. Toutes les autres catégories de l’être social se déploieront en un échafaudage de productions sociales et de formes d’intersubjectivités de plus en plus complexes (langages, pensée conceptuelle, religions, institutions politiques, juridiques, arts, etc.) sur le modèle du travail, constituant ainsi l’être en-soi du genre humain. Lukács montre qu’en parallèle de cette évolution de l’être en-soi du genre humain, ancré dans sa particularité abstraite, s’instaurera de plus en plus une tension dialectique de ce dernier avec un être pour-soi de la généricité humaine, tourné, lui, vers l’universel et qui, à travers nombre d’avancées et de reculs, conduira tendanciellement à une humanité de plus en plus unitaire et maîtresse d’elle-même et de ses déterminations. Georges LUKACS

ISBN : 978-2-915854-26-8

483 pages 24€

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Ontologie de l’être social. L’idéologie, l’aliénation
Ce volume clôt la traduction française de la seconde partie de l’Ontologie de l’être social. Cet ambitieux projet, qui fait figure d’un bloc erratique dans le paysage de la philosophie contemporaine, élabore une sorte de « critique de la raison historique », de grammaire spéculative de la vie sociale. Les analyses consacrées au concept de travail, au concept d’idéologie, à son assujettissement et à son émancipation, à la spécificité du genre humain en-soi et à la spécificité du genre humain pour-soi, prennent un relief saisissant dans le contexte de la crise actuelle. Avec la publication des deux chapitres sur l’idéologie et sur l’aliénation se clôt la traduction française de la seconde partie de l’Ontologie de l’être social, consacrée aux grands concepts fondateurs (ou selon l’expression de l’auteur aux « problématiques les plus importantes »). Le volume antérieur incluait les chapitres sur le travail et la reproduction. La partie historique de l’Ontologie, où on trouve les chapitres sur le néopositivisme et l’existentialisme, sur Nicolai Hartmann, Hegel et Marx, va fournir la matière du volume suivant. L’ambitieux projet d’élaborer une sorte de « critique de la raison historique », de grammaire spéculative de la vie sociale, a pris corps dans le volumineux manuscrit de l’Ontologie de l’être social. L’ouvrage fait figure d’un bloc erratique dans le paysage de la philosophie contemporaine. Il est pourtant certain que les analyses consacrées au concept de travail, à la société comme un « complexe de complexes », au concept d’idéologie, à l’authenticité et l’inauthenticité de l’existence humaine, à son assujettissement et à son émancipation, à la spécificité du genre humain en-soi et à la spécificité du genre humain pour-soi, prennent un relief saisissant dans le contexte de la crise actuelle. Georges LUKACS

ISBN : 978-2-915854-34-3

553 pages 26€

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Où vont les italiens ?
La crise a engendré en Italie un phénomène inédit : depuis le gouvernement Monti, le pays est désormais aux mains des plus hautes instances financières et bancaires, sans l’aval des urnes. La casse des acquis sociaux s’accélère, en complicité avec un patronat voyou qui ne respecte même plus les conventions collectives. Ce diktat ne laisse pas d’inquiéter lorsqu’on sait le rôle pionnier que l’Italie a déjà joué par le passé, dans l’invention de systèmes répressifs et réactionnaires, à commencer par le fascisme. Mais l’Italie, c’est aussi un peuple que rien n’a pu ébranler, et qui, de Garibaldi à la Résistance, s’est toujours levé contre l’oppression. Un peuple qui possède comme arme une des Constitutions les plus progressistes de la planète, fruit de tant d’années de luttes. Qui l’emportera ? Les banquiers ou les Italiens ? De cette issue, c’est aussi évidemment le sort de la France qui se joue. Alessio ARENA

ISBN : 978-2-915854-41-1

108 pages Format poche 12€

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